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Intégrité intellectuelle

L’intégrité intellectuelle au cœur de nos pratiques académiques!

L’intégrité intellectuelle fait appel au sens de l’engagement, des responsabilités, au respect et au souci de la qualité, lesquels se retrouvent dans la mission et les valeurs du Cégep.

L’intégrité est aussi gage de fierté : fierté d’avoir réalisé son propre travail, fierté d’obtenir son diplôme sans tricher.

Le Cégep soutient les étudiants et l’ensemble de la communauté dans la valorisation du travail académique éthique et la lutte contre le plagiat.

TOUT SAVOIR SUR L'INTÉGRITÉ INTELLECTUELLE

1- L’intégrité intellectuelle, qu’est-ce que c’est?

L’intégrité intellectuelle est une posture qui s’appuie sur six valeurs fondamentales : l’honnêteté, la confiance, la justice, le respect, la responsabilité, le courage, selon The Fundamental Values of Academic Integrity  (3e éd. 2021) présenté par l’International Center for Academic Integrity (Centre international pour l’intégrité académique).

C’est en appliquant ces valeurs à nos façons de travailler et à nos productions que nous prouvons la crédibilité de notre savoir, de notre savoir-faire, de notre savoir-être, en tant qu’étudiant, étudiante, en tant que membre d’une institution collégiale.

Agir avec intégrité, c’est se donner les moyens d’être individuellement et collectivement fiers, fières de nos réalisations et confiants dans leur valeur. L’intégrité intellectuelle en contexte académique est l’affaire de tous et toutes.

Afin d’encourager l’intégrité intellectuelle, le Cégep de Valleyfield s’est doté d’une campagne de communication fondée sur les principes mis de l’avant par le Centre international pour l’intégrité académique. ​​

Je veux consulter la campagne pour l’intégrité intellectuelle > Je pense, donc je ne plagie pas ! Dixit Descartes : « Je pense, donc je suis »

Ou rendez-vous ici:

  • Communauté Omnivox > Direction des études > Développement pédagogique > Plagiat : déclaration et outils de prévention
2- Définitions des 6 valeurs fondamentales

L’International Center for Academic Integrity définit ce que signifie chacune des six valeurs fondamentales sur lesquelles se fonde l’intégrité académique, tant du point des étudiant(e)s, des professeur(e)s, que des institutions. On y précise notamment (extraits, traduction libre et adaptée):

L’honnêteté « constitue le fondement indispensable de l’intégrité. Elle est une condition préalable à la pleine réalisation de la confiance, de la justice, du respect et de la responsabilité. L’honnêteté commence avec les individus et s’étend à la communauté. »

La confiance, est « la capacité à se fier à la véracité d’une personne, d’un fait (…). Qu’il s’agisse d’un travail étudiant ou d’un travail de recherche, [chaque personne] doit pouvoir être assurée que le travail n’est pas falsifié et que les normes sont appliquées de manière équitable. La confiance permet aux étudiant(e)s, [aux professeurs et] chercheurs de collaborer, de partager de l’information, de faire circuler des idées nouvelles librement, sans peur (…) La confiance est réciproque : Être digne de la confiance des autres et s’autoriser à faire confiance vont main dans la main. »

La justice, l’équité, visent un traitement impartial et équitable. Cela suppose notamment que « les étudiant(e)s réalisent leurs propres travaux [des travaux originaux et dont ils sont les auteur(trice)s], qu’ils reconnaissent de manière appropriée les travaux empruntés [selon les normes de référence et de citation], qu’ils respectent et soutiennent les politiques d’intégrité académique [au Cégep de Valleyfield : la Politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages, la Politique d’éthique de la recherche avec des êtres humains, la Politique d’intégrité en recherche] ». Chacun(e) « est en droit de s’attendre à un traitement juste et équitable, et se doit de traiter les autres de la même manière ».

Le respect « de soi signifie relever les défis sans compromettre ses propres valeurs. Le respect des autres implique de valoriser la diversité des opinions, de reconnaitre la nécessité de mettre en doute, de tester et d’affiner des idées. »

La responsabilité permet de porter ensemble et individuellement les valeurs de l’intégrité. « Être responsable signifie refuser l’injustice, résister à la pression négative des pairs, et être un exemple positif. »  C’est « assumer ses propres actions, et travailler à décourager et prévenir l’inconduite des autres ».

Le courage « est souvent interprété comme une absence de peur. En réalité, le courage est la capacité à agir en accord avec ses valeurs, en dépit de la peur. (…) Comme la capacité intellectuelle, le courage peut se développer seulement dans des situations où il est mis à l’épreuve. » Allié aux cinq valeurs précédentes, il contribue au développement et au maintien d’une culture d’intégrité.

Sous licence Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 4.0 International license.

Pour une définition complète, veuillez consulter The Fundamental Values of Academic Integrity.

3- MA réussite. Je réussis sans plagier, tricher ou frauder​.

Le plagiat, la tricherie, la fraude, sont des actes qui vont à l’encontre de l’intégrité intellectuelle en contexte académique. En vertu de La Politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIEA), plagier, tricher, frauder, ou participer à un tel acte est sanctionnable. Par exemple, le fait de dépanner un ami ou une amie en la laissant copier une partie de son travail ou en lui prêtant son brouillon est aussi sanctionnable que le fait de copier.


Le plagiat « consiste à tenter de faire croire qu’on est l’auteur d’un texte ou d’une production, le concepteur d’une idée ou d’un projet, alors que l’on n’a fait que copier, imiter, traduire, paraphraser ou adapter, sans l’indiquer, le travail d’autrui. »  (PIEA). Par exemple :

  • Copier des données, des informations, des tableaux ou des diagrammes dans un ouvrage, dans des notes de cours ou sur internet sans indiquer la référence de l’information;
  • S’approprier une idée, un concept, développé par autrui au lieu d’y référer ;
  • S’approprier une œuvre visuelle, une image, sans mention de l’artiste ni référence ;
  • Recopier un extrait de texte (tiré d’un livre, d’une revue, ou d’un site web) sans mettre ni guillemets et ni référence;
  • Faire une paraphrase (recopier en changeant les mots mais en gardant le sens) non référencée;
  • Recopier le travail d’un autre étudiant, d’une autre étudiante;
  • Réutiliser son propre travail dans un autre cours sans l’accord de la personne responsable du cours et sans référence (auto-plagiat)

La triche, une forme de fraude, consiste à poser des gestes qui enfreignent les consignes établies pour la réalisation d’un travail ou d’une évaluation. Par exemple :

  • S’étirer le cou pour regarder ce qu’écrit l’autre pendant un examen (girafer comme dirait Boucar Diouf) ;
  • Faire certaines parties du travail ou de sa préparation à plusieurs alors qu’il s’agit d’un travail individuel ;
  • Utiliser des ressources non autorisées par l’enseignant.e pour réaliser un travail en tout ou en partie (une antisèche comme une note dans le coffre à crayons ou sur la main, un ouvrage, une application d’intelligence artificielle, ou encore utiliser un ouvrage annoté sans en avoir le droit).

La fraude peut aussi se traduire par des actes qui visent à tromper ou falsifier en vue d’un bénéfice personnel inéquitable. Par exemple :

  • Acheter un travail ou le faire faire par quelqu’un d’autre;
  • Faire générer son texte ou son travail, en tout ou en partie, par une application d’intelligence artificielle lorsque les consignes du travail ne prévoient pas cette possibilité;
  • Chercher à connaître à l’avance les questions d’un examen;
  • Substitution de document;
  • Substitution de personne;
  • Falsification de document, etc.

Je veux consulter > La Politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIEA)


La PIEA prévoit que l’enseignant(e), témoin d’une situation de plagiat, de tricherie ou de fraude dans l’un des cours dont il est responsable, est dans l’obligation d’en faire la déclaration à la Direction des études. ​​

Je veux accéder à > La déclaration de plagiat, tricherie, fraude

Ou rendez-vous ici:

  • Communauté Omnivox > Direction des études > Développement pédagogique > Plagiat : déclaration et outils de prévention

La personne qui mène des activités de recherche est également tenue d’agir avec intégrité. ​​

Je veux consulter la page > Projets de recherche

4- Citer correctement

Pourquoi citer?
Se documenter, comprendre la pensée d’un auteur pour réaliser ses propres travaux, c’est normal, et même indispensable dans une démarche scientifique, un processus de construction du savoir et des idées. Mais reconnaître la contribution, l’apport de chacun, ne pas s’approprier les idées, données, créations des autres en les faisant passer pour siennes, c’est essentiel.

Citer, c’est :

  • prouver que je respecte la valeur du travail des autres et du mien;
  • faire valoir que ma réflexion est en dialogue avec la pensée et le savoir que d’autres ont formulés;
  • reconnaître que le savoir une construction collective, à laquelle nous contribuons chacun, chacune, à notre façon;
  • faire preuve de rigueur intellectuelle et scientifique, en permettant aux lecteurs de remonter à la source;
  • éviter le plagiat et les sanctions qui en découlent.

Bref, citer les travaux d’autrui, c’est faire preuve d’intégrité intellectuelle.​​


Comment utiliser l’information de manière éthique et y faire référence?
La bibliothèque du Cégep met à la disposition de tous et toutes une équipe qualifiée qui peut être consultée sur place.

Je veux consulter > Les outils de la communauté Bibliothèque sur Omnivox
De plus, des ressources numériques sont accessibles par le site web de la bibliothèque, en particulier DIAPASON.

Je veux consulter > DIAPASON


Comment puis-je m’assurer que je n’oublie aucune étape afin de rendre un travail intègre?
L’outil « Mon travail est-il prêt à être remis » est un moyen simple pour faciliter le respect de la propriété intellectuelle. En cas de doute, rendre visite à l’enseignante ou à l’enseignant responsable du cours ou communiquer avec pendant ses périodes de disponibilités permet de clarifier les incertitudes.

Je veux consulter > Mon travail est-il prêt à être remis?

Ou rendez-vous ici:

  • Communauté Omnivox > Bibliothèque > Outils et documents de référence

Je veux consulter les outils de la communauté >Bibliothèque sur Omnivox


Et les particularités disciplinaires alors?
Selon les disciplines, les méthodes de présentation des références peuvent varier. Il est essentiel de s’approprier les méthodes propres à chacune dans le cadre des cours, et, au besoin, de consulter les enseignants, enseignantes des disciplines concernées.

5- Intelligence artificielle dans le contexte académique

Un outil comme les autres? L’intelligence artificielle est un « système conçu pour simuler le fonctionnement de l’intelligence humaine afin d’exécuter des fonctions relevant normalement de celle-ci » (Office québécois de la langue française. Lexique intégral. 2025). Ces systèmes informatiques visent donc à reproduire des facultés cognitives humaines, tel que la résolution de problème, la compréhension de langages, l’interprétation, l’apprentissage, la génération de contenus.

Des systèmes d’intelligence artificielle comme Chat GPT, Copilot, MidJourney ou DALL-E peuvent acquérir des connaissances, interagir et générer du contenu textuel ou audiovisuel à partir des données d’entrainement dont ils disposent.

Une application d’intelligence artificielle n’est donc pas un outil comme les autres : ses réponses varient et se modifient au fil des requêtes, des nouvelles données que le système enregistre et des apprentissages qu’il fait.

Je veux consulter l’infographie > Une intelligence artificielle bien réelle : Les termes de l’IA


Quelles précautions de base dois-je appliquer si j’utilise une application d’intelligence artificielle? De manière générale, selon les conditions d’utilisation des systèmes, les données entrées dans l’application pourraient être conservées par le programme et intégrées à ses réponses pour les futures requêtes d’autres utilisateurs (Gvt du Québec. Ministère de la Cybersécurité et du numérique. Guide des bonnes pratiques d’utilisation de l’intelligence artificielle générative. Octobre 2024).

Protection de la personne et droit d’auteurSi j’utilise une application d’intelligence artificielle, je dois donc en faire un usage responsable, non seulement du point de vue de l’intégrité intellectuelle, mais aussi en termes de respect de la confidentialité des données : je ne fais pas de requête impliquant la saisie de données personnelles ou sensibles ou soumises à des droits d’auteurs.

Et la sobriété numérique?L’utilisation d’une application d’intelligence artificielle a plusieurs impacts, personnels, sociaux et environnementaux. Une utilisation responsable des applications d’intelligence artificielle et du numérique en général implique d’en avoir conscience et d’agir de manière réfléchie.

Je veux en savoir plus sur > La sobriété numérique : un ingrédient de la réussite en enseignement supérieur?


Puis-je utiliser l’intelligence artificielle pour réaliser mes travaux? L’utilisation d’une application d’intelligence artificielle afin de générer des idées, du contenu textuel ou visuel, ou même des processus, complexifie le rapport aux productions originales et à la propriété intellectuelle.

Copier-coller ou paraphraser un contenu généré par une application d’intelligence artificielle sans le déclarer est une fraude de type plagiat.

Par contre, les applications d’intelligence artificielle génératives peuvent être utilisées pour certaines tâches en fonction des consignes de l’enseignant, de l’enseignante et en déclarant l’utilisation qui en est faite, de manière honnête, transparente et responsable.

  • L’utilisation d’une application d’intelligence artificielle est-elle autorisée par l’enseignant(e) pour la réalisation du travail concerné? Pour toutes les étapes ou seulement certaines?

En cas de doute, je consulte mon enseignant(e).


Comment prendre des décisions éclairées dans mon utilisation des applications d’intelligence artificielle?Je peux me poser les questions suivantes :

  • L’application que je pense utiliser est-elle de type intelligence artificielle ou pas?
  • Quelles sont les raisons pour lesquelles je souhaite recourir à l’intelligence artificielle? Mes raisons sont-elles intègres? Qu’est-ce que mon apprentissage y gagne?
  • Si je saisis des informations ou des textes dans le cadre de mes requêtes dans une application d’intelligence artificielle, à qui appartiennent ces informations ou textes ? Est-ce que je respecte la propriété intellectuelle des auteurs en agissant ainsi ? Ça vaut aussi pour les notes de cours.
  • Si j’utilise une application d’intelligence artificielle, indique-t-elle les sources des données qu’elle utilise pour répondre à mes requêtes ? Suis-je en mesure de vérifier la justesse et la validité des données ou des informations fournies par l’application ? Les sources qu’elle cite sont-elles vérifiables et justes?

En cas de doute, je consulte mon enseignant(e).


En tout temps, je reste responsable des travaux que je soumets, des textes que je produis:

  • Si j’ai utilisé une application d’intelligence artificielle, je me dois d’être honnête et d’indiquer clairement quelles sont les étapes ou parties de mon travail pour lesquelles j’ai eu recours à une application d’intelligence artificielle. (Exemple : pictogrammes de Martine Peters et note de bas de page avec référence indiquant l’application d’IA utilisée, les étapes de travail réalisées avec l’application, la chaîne de requête effectuée)
  • J’ai l’obligation de m’assurer que je réfère aux sources que j’utilise, que ce soit un livre, une ressource numérique, ou la source d’origine et vérifiée d’une donnée transmise par l’application d’intelligence artificielle.

Je veux consulter le document > Ébauche de principe d’utilisation de l’IAgen

Ou rendez-vous ici:

  • Communauté Omnivox > Intelligence artificielle (IA) > Références
6- Intégrité intellectuelle et œuvres protégées par le droit d'auteur

Qu’est-ce que le droit d’auteur? Qu’il s’agisse d’un texte, d’une œuvre littéraire, artistique, dramatique ou musicale, d’un programme informatique, d’une prestation, d’un enregistrement sonore, ou de signaux de communication, toute œuvre originale fixée sur un support est assortie d’un droit d’auteur, que protège la Loi sur les droits d’auteur. Loi sur le droit d’auteurOffice de la propriété intellectuelle du CanadaLe droit d’auteur en contexte collégial (Communauté Omnivox > Intelligence artificielle (IA) > Références)

Quel impact sur l’attribution et la reproduction des œuvres?La loi encadre notamment la publication, la reproduction, la diffusion, la traduction, l’adaptation, l’intégrité et l’attribution (ou paternité) de l’œuvre.

Pour utiliser un extrait d’une œuvre dans le cadre d’un travail collégial, on recourt à la citation ou à la paraphrase selon les normes en vigueur dans le milieu académique.

Je veux voir la section > Citer correctement
Pour reproduire une partie ou l’intégralité d’une œuvre protégée par la Loi sur les droits d’auteurs, il est essentiel de consulter les services de la bibliothèque, afin de s’assurer du respect des droits d’auteurs.


Comment utiliser une création sous licence Creative Commons? Il est possible qu’un auteur, une autrice, ait préautorisé les conditions d’utilisation de son œuvre par l’entremise d’une licence Creative Commons. L’objectif est généralement d’en faciliter l’utilisation, tout en précisant des conditions simples. Si on souhaite utiliser une œuvre sous une telle licence, on doit respecter les conditions préalablement fixées par l’auteur, l’autrice. Cette licence peut prévoir comme conditions d’utilisation « l’attribution » et le « partage dans les mêmes conditions » ; « pas d’utilisation commerciale » ; « pas d’œuvre dérivée ».

Pour bien comprendre les utilisations possibles > Licence Creative Commons 4.0 – Données Québec

7- Intégrité intellectuelle et œuvres du domaine public​

Certaines œuvres peuvent ne pas ou ne plus être soumises au droit d’auteur. C’est le cas lorsque :

  • l’œuvre est tombée dans le domaine public, habituellement 70 ans après la mort de son auteur (art. 6 Loi sur le droit d’auteur). Attention : si une maison d’édition édite une œuvre du domaine public, la maison d’édition dispose de droits sur sa propre édition de l’œuvre.
  • l’œuvre a été publiée sous licence Creative Commons « Domaine public », qui permet « de copier, modifier, distribuer et représenter l’œuvre, même à des fins commerciales. L’attribution du crédit n’est pas obligatoire. » (Licence Creative Commons 4.0 – Données Québec)

Code Juridique – CC0 1.0 Universel – Creative Common

Puis-je pour autant m’approprier ces œuvres?Eh bien non! Même si l’œuvre est du domaine public, faire passer pour sien, sans référence, un texte que l’on a paraphrasé ou recopié sans guillemets reste du plagiat.

Je veux voir la section > MA réussite : Je réussis sans frauder, plagier ou tricher

Si des exceptions venaient à s’appliquer, elles vous seraient indiquées par les enseignants, enseignantes des disciplines éventuellement concernées.

Ce qu’il faut retenir : l’absence de droit d’auteur n’empêche pas de faire preuve d’intégrité intellectuelle. On cite, on attribue le texte à son auteur et on y associe la référence selon les normes bibliographiques.

Je veux voir la section > Citer correctement

8- Médiagraphie et ressources complémentaires

Sites web consultés pour la réalisation de cette page Web


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